Première Guerre mondiale : qu'en reste-t-il cent ans après ?
Ce projet concerne 25 élèves en classe de troisième au collège Olympe de Gouges de Loupian, au bord du Bassin de Thau dans l'Hérault,
Tous se sont montrés motivés par le projet présenté par les professeurs de Français, de Technologie et d'Histoire : "Première Guerre mondiale, qu'en reste-t-il cent ans après ?"
Voici pour vous une petite vidéo de présentation sur une musique des Tambours du Bronx :
"Première Guerre mondiale, qu'en reste-t-il cent ans après
?" est un projet de classe annuel et
interdisciplinaire (Histoire, Enseignement Moral et Civique,
Français, Technologie, Langues vivantes), qui permettra aux élèves de développer leur esprit d'initiative ainsi que leur démarche citoyenne et de donner
davantage de sens à leurs apprentissages.
> Tout au long de l'année, différentes productions seront réalisées : carnets de Poilus, vidéos courtes...
> Le point d'orgue du projet sera un séjour à Verdun :
Se déplacer sur les
lieux de Mémoire nationaux permettra aux élèves d'être au plus
proche de ce qu'ont vécu les Poilus.
Pour conserver des traces de
cette expérience, ils effectueront des prises de vue qui seront
utilisées pour la réalisation des vidéos courtes et la rédactions
des carnets à la façon des Poilus. Les élèves réaliseront
entièrement les vidéos (captations, scénario, montage) sur des
thèmes comme les évolutions technologiques ou scientifiques
favorisées par le contexte de guerre et la perception que les
adolescents d'aujourd'hui peuvent avoir sur ce conflit cent ans
après.
La Mission du Centenaire, une des plus hautes instances en charge du devoir de Mémoire, vient d'accorder à ce projet son label
national.
Pour que ce projet se réalise, nous avons pu recevoir la participation financière de l'établissement et d'associations d'Anciens combattants.
Les familles participent également financièrement, mais nous souhaiterions alléger au maximum leur contribution pour ne pas les mettre en difficulté :
> Si nous atteignons notre objectif minimum (2 500 euros), la participation des familles serait de 100 € et nous serions hébergés deux nuits (nous passerions la troisième nuit dans le car). Les dépenses s'élèveraient à 6 850€.
> Si nous atteignons notre objectif optimum (5 000 euros), la participation des familles serait seulement de 50 € et nous pourrions être hébergés trois nuits sur place, pour un budget de 8000€.
La présentation et le contenu de cette page ont été élaborés par et sous la responsabilité du porteur de projet et de ses élèves. Un texte de présentation, s'il est original, est protégé par le droit d'auteur
Les dons effectués au bénéfice d’un projet ouvrent droit à la déduction fiscale à hauteur de 60% du don effectué et de 0,5 % du chiffre d’affaire annuel pour les entreprises et 66% du don effectué, dans la limite de 20% du revenu imposable annuel pour les particuliers éligibles, dans le cadre de la réglementation en vigueur.
Si vous appartenez au même foyer fiscal qu’un élève bénéficiaire d’un projet de sortie avec nuitée, votre don n’ouvre droit à la défiscalisation que s’il s’ajoute à la contribution que vous avez payée par ailleurs pour la participation de votre enfant au projet.
Plus que quelques jours ! C'est les vacances ce soir mais la campagne continue.
Nous approchons du but...mais il n'est pas encore atteint. Aussi nous comptons encore sur vous pour faire passer l'info.
Tous les élèves et l'équipe pédagogique vous remercient et vous souhaitent de très joyeuses fêtes.
Nous avons rédigé des carnets à la façon des Poilus. Nous nous sommes imaginer à la place de ces soldats, au fond des tranchées, qui notaient dans ces carnets leurs émotions, leurs souvenirs, leurs peurs, leur amour pour leur famille...
La boue, l'humidité ou le sang les ont parfois salis.
Ce fut l'occasion pour certains d'entre nous de retrouver des lettres ou des objets de membre de leur famille.
Ce matin, nous avons participé à la cérémonie de commémoration de l'armistice du 11 novembre 1918. Les élèves ont lu des poèmes rendant hommage aux soldats et aux familles meurtries.
Antoine et Maxime ont même eu l'honneur de lire le message du président de la République.